Comme chaque année, je me suis amusée à préparer une petite infographie décortiquant mes lectures de 2019. Armée de mon fidèle fichier excel, j’ai épluché genres, format, auteurs, etc. Ce billet vient compléter le tag Adieu 2019.
En 2019, j’ai lu 157 livres, soit 29 de plus que l’année dernière, mais cela est principalement dû aux BD et mangas qui représentent plus de la moitié de ce 2e chiffre. J’ai tout de même lu 11 romans de plus qu’en 2018 ce qui m’étonne car j’ai eu plusieurs passages à vide cette année. Sans surprise la majorité de mes lectures sont au format papier vu que je lis en électronique principalement lorsque je suis en déplacement. Je me suis totalement vautrée sur mes lectures en anglais, je n’en ai lues que 3, ce qui est la moitié de mon objectif. Et 6 livres dans l’année ce n’est quand même pas un objectif de ouf nom d’une baïonnette rouillée !! Plus de 40% de mes lectures sont des livres parus dans l’année, ce qui est dû à ma façon plus proactive de gérer mes achats : « tu l’achètes, tu le lis tout de suite ! » La part d’autrices reste elle plus ou moins constante et représente un peu plus d’1/3 de mes lectures.
Au niveau des genres de lecture, si on additionne les différents genres de l’imaginaire la SFFF reste mon genre de prédilection, toutefois mes lectures SF, qui étaient majoritaires en 2018 ont baissé cette année de 45% ! L’urban fantasy a augmenté elle, de 26% et les thrillers et polars de 14%. La valeur Autres contient des lectures que j’ai identifié pour la plupart comme historique ou western.
Je lis également toujours beaucoup trop de sagas, et cette année ma gestion n’a pas été très efficace ! J’ai entamé le double de séries par rapport à 2018 alors que je n’ai avancé que sur 15% des sagas que je suis.
Au niveau des nationalités représentées j’ai du mal à sortir du couple Europe / Amérique du Nord. Le Japon apporte un peu de diversité grâce aux mangas mais c’est bien tout. Les auteurs Américains représentent 33% de mes lectures, suivi juste derrière des Français avec 31%. J’ai lu entre 3 et 5 livres de la plupart des maisons d’édition que je suis, les plus représentées sont cette année Albin Michel Imaginaire et Harper Collins avec avec 7 et 6 livres, Dupuis et Kana avec 11 et 24 volumes pour les BD et mangas. Enfin, mes entrées de PAL (hors BD) ont explosé avec 39% d’achat/emprunt/SP supplémentaires. Donc de 2 choses l’une : soit j’ai complètement craqué mon slip cette année (ce qui est tout à fait possible), soit j’oubliais vraiment de noter une grande part de mes achats jusque là (j’ai commencé en 2019 à noter mes entrées différemment et surtout plus régulièrement, vive le bullet !). Ceci dit, grâce à ma nouvelle résolution 1 achat = 1 lecture qui a plutôt bien fonctionné j’en ai déjà lu 70%. Ce sont les achats en nombre lors des festivals et des promos numériques qui m’ont principalement empêché de faire mieux. Cela représente tout de même une augmentation de 13% de ma PAL puisque je suis maintenant à 206 livres à lire. Oups ! 😀
Sur le blog j’ai publié 46% de chroniques en plus par rapport à l’année dernière. Je suis contente car j’ai vraiment fourni un effort pour rattraper toutes mes chroniques en retard. Il ne m’en reste plus que 5 ! J’essaie aussi de programmer au maximum mes articles à l’avance afin de ne pas me faire déborder comme cela a pu m’arriver plusieurs fois. Côté série, sorti du trimestriel Serial watcher je n’ai publié que 2 autres billets. Je réfléchis pour l’année prochaine à changer le rythme de parution du Serial watcher afin de faire des billets moins longs mais plus réguliers. La grosse chute est sur les interviews, il n’y en a eu qu’une seule cette année :/ Et au niveau des rencontres si le CR des Quais du polar a bien été fait, celui des Imaginales est passé à la trappe pour la 2e fois. La chronique la plus lue reste, comme l’année dernière, Le manuscrit inachevé. Les énigmes que Franck Thilliez y a parsemées semblent avoir laissé perplexe nombre de lecteurs ! Suivi des très bons La punition qu’elle mérite, 20e enquête de Havers & Lynley d’Elizabet George, et Terminus de Tom Sweterlitsch.