Sasha Urban, Tome 7
I found my family, I found my heart, I found myself.
But it’s not over.
No matter how many allies I have, there’s no escaping destiny.
The end of the world is coming, and I’m the only one who can stop it.
Avis : Et voilà ! Sasha Urban, c’est fini ! C’était une chouette série, assez facile à lire en anglais, et qui m’aura bien fait rire !
Dans Prophecy of Magic, nous avions laissé Sasha alors qu’elle venait d’avoir une terrible vision : le terrifiant mage Tartarus, le destructeur de mondes, allait venir s’en prendre à la Terre. Smoke, Vampires, and Mirrors est donc la suite directe de cet évènement. Sasha va tenter de réunir tous ses alliés pour lutter contre le mage. Le problème c’est qu’elle a beaucoup de mal à avoir de nouvelles visions, car Nostradamus a ses propres plans, et ne cesse de la contrer.
Ce qui était intéressant dans ce tome, c’est justement que pour une fois, Sasha ne peut pas se reposer sur son pouvoir. C’est de l’impro totale, et elle doit en plus composer avec une mère autoritaire et totalement amorale. Cela va donner lieu à quelques scènes pas piquées des hannetons ! Le combat contre Tartarus quant à lui ne déçoit pas, il est épique et dramatique comme il se doit. Si je devais chipoter, il y a juste une scène où elle va réussir à atteindre le « headspace » qui est trop longue ; elle sert principalement à nous montrer ce qui se passe ailleurs pendant ce temps, mais ça casse le rythme.
J’ai passé un bon moment avec Smoke, Vampires, and Mirrors, ça n’a peut-être pas été mon tome préféré, mais c’est une bonne fin de série. Le tome se termine sur l’annonce d’une série spin-off sur Bailey Spade, la marcheuse de rêve, que nous rencontrons ici. C’est un peu dommage de l’introduire à la dernière minute, car du coup je ne suis pas plus intriguée que ça, et je ne suis pas sûre de lire ce nouvel opus.
Roman publié aux éditions Mozaïka
L’avis de Melliane