Voici, enfin, mon dernier bilan de l’année 2017, avec le Tag favorite shows de Tequi. Après les livres, il est temps de parler un peu séries !
Question difficile car j’ai visionné plusieurs excellentes séries cette année… mais je dirais Berlin 56. J’ai vraiment adoré cette série historique qui se déroule dans le Berlin de l’après-guerre, avant la construction du Mur. La peinture sociale est saisissante, les personnages sont superbement campés et les scènes de danses… ça swingue !
Good behavior ! J’avais sélectionné cette série avant tout pour son actrice principale, que j’aime beaucoup, et j’ai vraiment passé un bon moment avec ce show entre thriller et drama.
Emerald city. J’attendais vraiment beaucoup de cette réécriture du Magicien d’Oz, mais plus la saison avançait plus j’étais déçue par le traitement qui lui a été donnée. Je n’aurais pas continué la série même si elle n’avait pas été annulée.
Peaky Blinders !!! J’adore ce show ! J’ai encore une fois dévoré la saison 4, qui n’a absolument rien perdu de sa qualité, et qui a su encore une fois proposer une histoire qui nous tient en haleine.
Chaque année, le nombre s’agrandit…
Chicago med, au bout de 10 épisodes. J’apprécie Chicago fire alors j’avais envie de découvrir les franchises, mais je n’ai pas réussi à accrocher à celle-ci. J’ai trouvé les épisodes décousus entre eux, et je n’ai pas réussi à avoir de l’empathie pour les personnages à part pour quelques rares d’entre eux. Au bout de 10 épisodes, je n’arrivais toujours pas à relier leurs noms à un perso ! Je pense malgré tout tester Chicago P.D. à l’occasion, vu que je suis bien plus branchée cop show que série médicale.
Powerless, au bout de 2 épisodes. Ce n’est pas du tout ce que j’imaginais comme histoire, et non seulement les épisodes m’ont ennuyée mais ce n’était pas drôle.
The catch, au bout d’une saison. Lorsque la saison 2 a débuté, je me suis rendue compte que je n’avais pas vraiment envie de regarder, j’ai donc laissé tomber.
Santa clarita diet, au bout d’un épisode. Je dois reconnaître qu’il y avait pourtant du potentiel, mais c’était tellement strange… j’ai eu la flemme de regarder un 2e épisode !
Dear White people, au bout de 4 épisodes. C’est peut-être celle-ci que j’aurais dû mettre pour le topic de la série la plus décevante, car j’étais déjà prête à adorer lorsque j’ai commencé cette série. Mais finalement c’était très différent de ce que j’imaginais. Je n’ai pas accroché au ton employé, ni aux personnages, que je n’ai pas trouvé attachants ou particulièrement intéressants. Les épisodes ne font qu’une demi-heure et pourtant j’avais l’impression d’être devant un format classique de 45 minutes.
Marvel’s Defenders, au bout de 2 épisodes. Je n’ai accroché ni à Luke Cage, ni à Daredevil, mais j’ai adoré Jessica Jones, et la présence de Sigourney Weaver au casting m’a convaincu de tenter ce nouveau Marvel. Échec encore une fois. Je me suis ennuyée, seuls les passages avec Jessica m’intéressaient.
Quadra, vu le début et la fin de la saison. Pourtant prometteuse, mais finalement pas aussi drôle qu’attendue. Les épisodes étaient plombés par un manque de légèreté et la mesquinerie des personnages.
Midnight, Texas, au bout de 5 épisodes. Globalement, ce que je reproche à ce show c’est d’en faire trop. Que ce soit dans le scénario ou les personnages, on tombe très vite dans la surenchère. Entre les différentes espèces et le passé de chacun, il y avait déjà pas mal à faire sans qu’on ait besoin de partir dans des histoires d’armée des ténèbres et de prophéties, en tout cas peut-être pas tout de suite. Surtout qu’ils ne savent très bien gérer la tension ou le mystère, ils donnent tout, tout de suite, et la plupart des acteurs se sentent obligés d’en faire des tonnes (j’ai particulièrement trouvé le vampire et son acolyte ridicules).
Howards end, au bout d’un épisode. J’étais toute prête à adorer, de par le côté historique du show et la présence de Hayley Atwell, mais en fait je n’ai pas accroché du tout. Le premier épisode m’a paru terriblement long et les relations entre les personnages assez étranges, et particulièrement entre Marget Schlegel et Ruth Wilcox.
Room 104, au bout de 5 épisodes. Une anthologie super strange, on ne sait jamais à quoi s’attendre et il faut souvent voir la chute pour tenter de comprendre ce qui se joue. J’ai apprécié certains épisodes et d’autres beaucoup moins. C’est comme à la roulette russe, et j’ai dans ces 5 épisodes plus souvent perdu que gagné.
The gifted, au bout d’un épisode. Je n’ai pas accroché. J’ai trouvé que c’était too much, et je n’ai pas trouvé Stephen Moyer convaincant.
Notorious, au bout d’une saison. Bien que je sois malgré tout allé au bout de la 1ère saison, je n’ai pas été assez convaincue par l’histoire et les personnages pour me donner envie de continuer la série.
The Halcyon :’( J’ai adoré cette série historique, à recommander à tous les fans de Downton Abbey. Les personnages étaient intéressants et très attachants, et le contexte historique, Londres pendant le Blitz, extrêmement porteur. Je ne comprends vraiment pas pourquoi elle n’a pas fonctionné.
En général j’essaie d’éviter de citer 2 fois la même série, mais Good behavior est le choix qui correspond vraiment à ces 2 questions, et la saison 2 m’a convaincue que décidement, j’en voulais encore ! Pourtant j’aimerais également croire au rêve de Tequi et dire Godless, même si pour moi la fin ne laisse pas de porte ouverte.
The man in the high castle. Les personnages sont vraiment confrontés à eux-mêmes dans cette saison 2, poussés dans leurs retranchements ils doivent faire des choix difficiles. J’ai hâte de voir la suite !
Je pourrais vous parler de Dan Stevens (Légion) ou Joseph Fiennes (The Handmaid’s tale) mais quelque part je trouve qu’il est plus difficile de jouer la comédie avec naturel, donc je parlerai plutôt de Tarek Boudali et Axel Huet, qui jouent respectivement Kader et Antoine dans la série En famille.
La noirceur du monde et des personnages de Handmaid’s tale. Cette série m’a vraiment mise mal à l’aise, la prospective qui nous est proposé est effrayante de réalisme avec la manière dont la population a glissé doucement dans cette dystopie totalitaire.