60 minutes / M.J. Arlidge

60 minutes / M.J. Arlidge

couverture du roman 60 minutes de MJ Arlidge

Helen Grace, Tome 9

2010. Alors qu’ils participent à une compétition sportive, cinq lycéens disparaissent dans les bois. Quatre d’entre eux réapparaîtront au bout de quelques jours. Ils auraient été séquestrés et torturés par Daniel King, un psychopathe. La cinquième membre du groupe serait morte. Le tueur, lui, semble s’être volatilisé dans la nature.
Une dizaine d’années plus tard, les quatre survivants ont réussi à surmonter tant bien que mal cette tragédie. Une nuit, l’un d’entre eux reçoit un coup de fil troublant. Une voix l’avertit qu’il ne lui reste plus qu’une heure à vivre. Si tout laisse penser qu’il s’agit d’une mauvaise blague, son corps sans vie est retrouvé le lendemain matin dans son appartement. Il a été étranglé.
Helen Grace mène l’enquête. Mais un nouveau coup de fil délivrant le même funeste message ne tarde pas à semer la panique parmi l’ancien groupe d’amis…

Avis : 60 minutes est un thriller palpitant puisqu’ on court après le temps. En effet, un ancien survivant de Daniel King, Justin Lanning, a été tué juste après avoir reçu une menace de mort par téléphone : « Il te reste 1h à vivre ». Daniel King a-t-il refait surface?

Il y a 3 autres survivants qui sont peut-être aussi sur la sellette. Toute l’équipe de la commandante de police Helen Grace est donc sur les dents. Cela se complique avec Emilia Guaranita, une journaliste qui vient flairer le scoop quand le second de Grace, le capitaine Joseph Hudson, provoque un accident. Sans oublier les relations particulières qu’entretient Helen avec Joseph, mais aussi avec Charlie Brooks, son amie et deuxième second ou avec sa cheffe, la commissaire Grace Simmons.

60 minutes a un bon rythme, beaucoup de suspense et de rebondissements et les extraits du livre dans le livre qu’écrit Maxine, l’une des survivantes, sont passionnants. Pourtant j’ai eu du mal avec tous les prénoms, surnoms et noms de famille, grades et relations. Et j’ai trouvé Helen Grace sans beaucoup de relief. Ainsi que trop peu soucieuse de sa vie.

Une des réussites du roman, pour les fans de cette saga, est son final grandiose avec un cliffhanger incroyable. Mais cela ne me suffira pas pour avoir envie de continuer ma découverte de cet auteur… à moins peut-être de commencer par Am Stram Gram qui a rendu M.J. Arlidge célèbre ?

Roman publié aux éditions Les escales (Noires) – Traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Séverine Quelet

L’avis de Marie

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