Stéphanie Plum, Tome 16
Porté disparu ? Vinnie, le cousin de Stéphanie, mais aussi son patron, s’est fait enlever par des mafieux qui réclament une rançon. Et ce n’est pas tout. La fine équipe, composée de Stéphanie, Connie et Lula, découvre que l’agence est dans le rouge : Vinnie a épongé ses dettes de jeu en puisant dans la caisse. Si elle veut sauver son job, Stéphanie va devoir non seulement retrouver son patron, mais aussi dénicher une belle somme d’argent. Mission impossible ? Peut-être pas… car Stéphanie vient d’hériter de la bouteille porte-bonheur de feu son oncle Pip. Avec Stéphanie Plum, même l’impossible est à prévoir !
Avis : Une aventure de Stéphanie Plum, c’est un remède assuré contre la morosité. Et Saisi sur le vif n’a pas déçu mes attentes. Stéphanie se lance dans une nouvelle traque survoltée, déjantée et dangereuse. Attention, ces pages contiennent un alligator, un psychopathe, 2 mecs sexy, des hobbits, un exhibitionniste et des boules puantes.
Cette fois, c’est son cousin et patron Vinnie qui fait l’objet des recherches de Stéphanie. Il a été enlevé par son bookmaker suite à des dettes de jeu importantes et Harry, le père mafieux de sa femme refuse de s’en mêler. Stéphanie, Connie et Lula le laisseraient bien se débrouiller aussi, mais sans lui elles n’ont plus de job. Entre 2 explorations pour retrouver Vinnie, Stephanie continue également (de tenter) d’ appréhender ses DDC.
On ne s’ennuie pas une minute, c’est loufoque, drôle et bon, avouons-le, complètement n’importe nawak, mais j’adore ça ! Avec Steph, le jeu consiste à deviner quel nouveau moyen original elle va trouver pour détruire sa voiture, et à la voir valser entre les 2 hommes de sa vie. Car heureusement, Ranger et Morelli sont toujours là pour assurer ses arrières, et elle en a bien besoin !
Saisi sur le vif a donc encore été un très bon moment de lecture. Je suis triste, il ne me reste plus que 2 tomes à lire en vf, les éditions Pocket ayant décidé (à nouveau) d’arrêter la publication de la série.
– Moi, j’ai un Uzi et les boule puantes, a ajouté Connie.
Elles se sont tournées vers moi.
J’avais une bombe de laque et une lime à ongles. Je ne faisais pas le poids.
– J’ai ma bouteille porte-bonheur.
– Ça, c’est super, a approuvé Lula.
Roman publié aux éditions Pocket – Traduit de l’anglais par Nicolas Ancion, Axelle Demoulin