La geste, Tome 2
Quatrième de couverture : Quand les dragons apparaissent, le chaos les suit et ravage les régions alentour. Un chaos que
seules les jeunes vierges peuvent traverser indemnes…
seules les jeunes vierges peuvent traverser indemnes…
Avis : Cette BD me laisse assez perplexe, car je trouve que le scénario est bien fait, l’histoire est intéressante, mais le décorum dessert l’ensemble. En effet, les tenues affriolantes des chevaliers dragons ridiculisent le travail du scénariste. Au lieu d’avoir une histoire réfléchie et crédible, qui tient la route, on a l’impression d’avoir une histoire de série B où les formes des femmes sont mises en avant pour séduire le lecteur. C’estv dommage, même si je pense que les auteurs jouent à fond sur ce décalage. Ils renforcent ce sentiment par le fait que seules des vierges ne peuvent pas être vues par les dragons. C’est vraiment un truc de macho et le style et
l’habillement des filles consolident cette impression. Mais n’en font-ils pas un peu trop, n’exagèrent-ils pas un peu ce choc des pensées ?
l’habillement des filles consolident cette impression. Mais n’en font-ils pas un peu trop, n’exagèrent-ils pas un peu ce choc des pensées ?
Dans tous les cas, ils en sont conscients et s’en servent dans leur récit, car nombre d’hommes les voient comme des filles faciles et
leur reproche d’être trop dénudées pour des chevaliers dragons. Ces jeunes femmes sont élevées dès leur plus jeune âge à combattre et tuer les dragons et souvent, sont vouées à mourir jeunes. Pour elles, il n’y a pas d’équivoque, car elles veulent profiter de la vie tout en consacrant cette dernière, à défendre les habitants du veill. Malheureusement, j’avoue qu’au fil des pages, ce style est lassant.
leur reproche d’être trop dénudées pour des chevaliers dragons. Ces jeunes femmes sont élevées dès leur plus jeune âge à combattre et tuer les dragons et souvent, sont vouées à mourir jeunes. Pour elles, il n’y a pas d’équivoque, car elles veulent profiter de la vie tout en consacrant cette dernière, à défendre les habitants du veill. Malheureusement, j’avoue qu’au fil des pages, ce style est lassant.
Toutefois, l’histoire m’a assez plu et convaincu pour me donner envie de lire le tome suivant. Car lorsqu’on fait abstraction à cette
gêne, à cet accroc, on plonge facilement dans l’intrigue qui est très bien faite. On se rend compte que ces femmes ne se limitent pas à un physique. Elles prouvent une vraie soif de vivre et surtout d’avoir une vie comme tout le monde. Il ne faut pas se fier aux apparences, elles sont plus intelligentes et ingénieuses qu’elles ne le font croire. L’habit ne fait pas le moine.
gêne, à cet accroc, on plonge facilement dans l’intrigue qui est très bien faite. On se rend compte que ces femmes ne se limitent pas à un physique. Elles prouvent une vraie soif de vivre et surtout d’avoir une vie comme tout le monde. Il ne faut pas se fier aux apparences, elles sont plus intelligentes et ingénieuses qu’elles ne le font croire. L’habit ne fait pas le moine.